Ces pièces-là étaient cataloguées « Métanimal ». Encore un mot ne voulant rien dire. Mais bizarrement, je n'ai pas eu besoin de trop de discours concernant ce travail. Ceux se pensant missionnés pour refaire le monde ne doivent pas savoir combien de pattes a réellement une mouche. C'est vrai aussi qu'ils ont autres choses à faire avec cet insecte qu'à lui compter les pattes ! Ce me fut donc un réel plaisir de décliner ce bestiaire en toute liberté, jouant autant des formes que des titres.
 
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